Angélique

Besoins d'avis concret... non non, ce n'est pas pour moi mais pour MAAW
Je vient vous montrer un extrait du livre qu'elle as écrit! pour ma part je l'est beaucoup aimer, mais on n'aime pas tous les même chose, alors...

Prologue

Je me suis toujours demandé si j’étais faite pour aimer, je n’ai jamais réussi à répondre à cette question, jusqu’à présent. J’ai compris que tout être sur cette Terre, aussi détestable qu’il soit, a besoin de donner et de recevoir de l’amour. Je me suis toujours demandé si je goûterais au bonheur au moins une fois dans ma triste vie. Je me suis toujours demandé si j’étais spéciale d’une quelconque façon. Toutes ces choses inutiles que je m’étais empressée d’accomplir, elles n’avaient servies à rien. Cependant, je n’aurais jamais pensé que cela se terminerait ainsi.
C’était probablement la meilleure chose à faire, je n’aurais pas pu supporter une nouvelle fois la souffrance, la tristesse, la désolation que représente la perte d’un être qui compte. J’étais maintenant plus forte, consciente de mes capacités, je saurais les affronter, cette fois-ci. Je n’étais plus faible, je m’étais complètement métamorphosée.
Si ma mère n’avait pas pris cette décision de partir rejoindre la capitale, je n’aurais jamais pu connaître cette merveilleuse sensation, je n’aurais pas pu ressentir le feu destructeur de la passion ainsi que le goût sensuel de la chair brûlante. Sans ce déménagement, je ne l’aurais pas connu, mon existence serait restée terne, monotone et trop bien rangée. La vie ne m’avait pas épargnée, néanmoins, elle m’avait offert le plus beau des cadeaux.
J’aurais dû mourir, ça aurait été plus simple, pour tous. Ils auraient réussi à oublier avec le temps, ils ne se seraient pas souvenus de la pauvre petite fille qui les embêtait. La mort en avait décidé autrement ce jour-là, elle avait voulu me faire souffrir avant de m’achever. J’avais réussi à me relever mais à quoi bon lutter si on n’en a plus courage ? A quoi bon lutter si on a plus de raison de le faire ? C’était un face à face entre elle et moi, elle savait qui l’emporterait, moi, je l’ignorais. Le combat serait rude et impitoyable, mais je me battrai jusqu’au bout pour enfin triompher. Je me battrai pour lui que j’aime et que j’avais toujours aimé.

Que dire devant une telle beauté ? Ca me donne envie de lire la suite.
Ca me passionne déjà. J'adore j'adore j'adore !
Ouah. Je sais pas quoi dire de plus a part :
Ouah et Waw.

Ba désoler de vous contredire les filles,
moi j'ai une impression de déjà vu, il faudrait que j'en lise d'avantage je pense pour peut être changé d'avis mais pour moi elle a un peu copié sur twilight même la 1ère phrase commence pareil, et le reste y ressemble. Il y a juste les deux dernière phrase qui se dissocie de twilight.
Alors moi j'ai juste un conseil si elle veut écrire un livre qu'elle laisse son imagination déborder et pas copié sur un livre juste en changeant l'histoire les personnages et tout ...
Enfin voilà pour moi qu'elle ne le prenne pas mal c'est juste ce que j'en pense.

Merci d'avoir donner vos avis...
Luky je pensait pareil que toi au début, mais j'ai l'histoire complète donc après avoir lu une bonne partie, ce n'est pas pareil après le début est trop semblable pour le moment!

Voilà donc la suite:

La pluie de ce mois d’avril avait fait place à la grêle qui martelait le pare-brise de notre camionnette. Je regardais les voitures défiler à travers la fenêtre. J’en voulais à ma mère d’avoir voulu déménager à Londres. Quitter Portsmouth, me brisa le cœur. J’avais dû y laisser mes amis, mon passé, ma vie entière. J’avais le cœur gros, je me sentais esseulée, perdue, je ne savais pas où j’allais. Nous déménagions suite à la mutation de ma mère dans une nouvelle entreprise. La route m’avait épuisée et les intempéries de plus en plus présentes ne faisaient que susciter ma colère. Mes bouderies ne plaisaient guère à ma mère mais elle ne bronchait pas. Elle ne voulait pas que je reste muette quelques jours de plus. Je me sentis mal de ne plus lui parler, depuis toute petite, elle avait veillé sur moi et je ne m’étais jamais autant fâchée avec elle que ce jour-là. Ces pensées me rongeaient de l’intérieur. Je détournai la tête et lui jetai un bref coup d’œil. J’eus juste le temps de voir une petite larme qui glissait le long de sa joue blanche comme la neige de décembre. J’ouvris la bouche et laissai un petit son s’en échapper mais ne parlai pas. Elle baissa le son de la radio qui résonnait dans la voiture puis au bout de quelques minutes d’hésitation, m’adressa la parole :
« Amy, je voulais que tu saches que je suis sincèrement désolée de ce déménagement en plein milieu de l’année scolaire mais ce poste compte beaucoup pour moi et…
- Ne t’en fais pas maman. Je comprends tout à fait mais tu aurais pu me le faire savoir plus tôt, dis-je sèchement en interrompant ses douces paroles. Je conçois très bien que parler à sa fille unique d’un déménagement prochain est complètement insensé ! C’est vrai que tu n’as pas eu l’occasion de me l’expliquer.
- Je…ma chérie…je m’excuse, crois-moi ça ne fait qu’un mois que je suis au courant de cette mutation et je devais prendre une décision au plus vite. Je suis vraiment désolée Amy.
- Et m’en parler, était-ce trop t’en demander ?, répliquai-je enragée, les yeux baignés de larmes. Je ne demandais rien d’autre que les raisons pour lesquelles tu empaquetais toutes nos affaires et que tu me demandais de dire au revoir à mes amis, mais j’oubliais, ce n’était qu’un détail ! Je ne sais pas moi, tu aurais pu me laisser à l’internat de Portsmouth et t’en aller toute seule à Londres, et bien non, tu ne l’as pas fait ! Tu me prends toujours pour une gamine ! J’en ai assez de vivre de cette façon ! Quand comprendras-tu que j’ai grandi ?  »
Elle ne répondit pas, blessée par mes mots. Elle était à côté de moi, bouche bée, les yeux écarquillés et irrités par les pleurs qu’elle retenait, cherchant quelque chose à dire pour éviter de tomber dans le calme plat bercé par le bruit lassant de la voiture avançant sur la route humide. Elle paraissait tellement innocente, j’avais l’impression qu’elle me cachait encore des choses. Je ne voulais plus m’énerver, j’en avais assez fait pour aujourd’hui. Je me recroquevillai dans mon siège, voulant fuir ces problèmes qui jouaient avec mes nerfs si fragiles en ce moment. Je n’étais pas vraiment prête à encaisser autant de nouvelles – aussi dramatiques soient-elles – en ce moment. J’ai toujours rêvé d’avoir une vie sans problème, sans rebondissements inattendus, comme tout le monde, j’étais bien naïve. On rêve tous d’un happy end, on croit toutes au prince charmant, on a beau y croire, tout cela n’arrive pas. Il faut grandir, j’ai dû grandir, mais à quel prix.

J'avoue il y as quelques incohérences, et je précise que les chapitres sont trééééééés trééééééés long... une choses qu'il faudra revoir! Il y à donc ici qu'une partie du chapitre 1

C'est pas mal mais j'attend d'en savoir un peu plus sur l'histoire avant de me prononcé tu as dis que ça ne ressemblait pas a twilight alors j'attend de voir ^^ car la on est pas trop avancé c'est juste une discution avec sa mere.
En tout cas j'adore le prénom "Amy" un bon point lol
De quel incohérence parles tu ?

Tu verra par la suite... il y à un moment que tu remarquer tout de suite!

Nous arrivâmes dans la capitale. Rachel, tel était le prénom de ma mère, gara la voiture en bas d’un grand immeuble situé à près de huit kilomètres du centre de la ville. Elle commença à monter nos bagages, notre appartement était au dernier étage – le quatrième – nous offrant donc un majestueux balcon avec une vue imprenable. Je m’emparai de mes deux énormes valises et les traînai jusqu’à l’ascenseur. Ma mère me suivit. Je me ruai dans l’appartement, courus vers ma chambre et y déposai nonchalamment mes bagages monstrueusement lourds. Les meubles étaient déjà là, les déménageurs avaient été très rapides. Cet appartement était assez grand, le balcon se trouvant dans le salon offrait une vue imprenable sur les routes menant à Londres, la cuisine était plutôt moderne, bien équipée, dans les tons noirs et gris. La chambre de Rachel se trouvait à l’opposée de la mienne, à l’autre bout du salon, les murs de cette dernière étaient marron et framboise. Quant à ma chambre, je la trouvais minuscule comparée à celle de Portsmouth. Je m’affalai sur mon lit et fermai et les yeux pour essayer d’oublier ce dramatique changement dans ma vie si monotone. J’avais toujours voulu changer d’air mais de là à déménager aussi loin ! Je soupirai. Ma mère vint me dire de l’aider à déballer les cartons de vaisselle et autres babioles sans grand intérêt pour ma petite personne. Je lui répondis que j’arrivais dans quelques instants. Il fallait d’abord que je décharge mes propres affaires. En premier lieu, je sortis tous mes vêtements puis les rangeai dans mon armoire qui, dans cette nouvelle chambre, paraissait immense, mes livres vinrent se rajouter au décor de cette triste pièce. Je venais juste de prendre un de mes petits répertoires en cuir où se trouvaient toutes les adresses et numéros de téléphone de mes anciens amis. Une feuille de papier rose, délicatement parfumée en tomba. Dessus, des mots auxquels je ne m’attendais pas le moins du monde, une missive qui me choqua:
«  Amy, je sais que tu pars le Lundi qui suit. Je ne t’en veux pas, je suis seulement triste de devoir te dire adieu de cette façon, dans cette lettre, en espérant que tu puisses la lire. Je n’ai jamais vraiment pu te parler seul à seul tout en étant sérieux. Maintenant, je réalise à quel point, il est difficile de trouver des mots dans ces moments-là, mon vocabulaire étant, en plus, limité. Je suis un piètre écrivain, j’aurais, au moins, le mérite de le reconnaître. J’aurais voulu que tu restes encore un peu au lycée avec nous, avec moi. J’espère de tout cœur que tu n’oublieras pas ces années collège passées à Portsmouth. Surtout, je ne veux pas que tu te sentes mal à l’aise ou triste par rapport à ce qui est dit dans ce mot, je ne vaux pas le moindre de tes pleurs. Un jour, qui sait, nous nous reverrons et nous aurons des tas de choses à nous dire ou tu m’auras peut-être oublié. Ainsi va la vie Amy et elle est moche, en ce qui me concerne en tout cas. Je t’aime. Sincèrement. Dean. »
Je laissai s’échapper des larmes, des larmes pleines de tristesse et de rage. J’avais besoin d’un prétexte pour pleurer, je venais de l’avoir. Jusque-là, je pouvais compter les scores : Portsmouth : un point, Londres : aucun point. Mes pleurs se renforçaient. Rachel laissa tomber quelques assiettes puis accourut pour voir si j’allais bien. Je gisais sur le sol de ma nouvelle chambre, un étrange morceau de papier avait l’air d’en être la cause, ma mère se demandait sûrement ce qui était en train de m’arriver. Je pleurai, adossée à mon lit. Elle eut l’air désemparée, impuissante face à mes pleurs. «  Amy ! Qu’est-ce qui ne va pas ? Amy ! Réponds-moi ! » Je ne pouvais pas lui répondre. Ma gorge était serrée par la douleur, mon estomac noué par une curieuse souffrance. «Je t’aime», Dean Cortez m’avait dit, ou plutôt écrit, ces paroles. Je me souvins brusquement de tous ces moments passés avec lui ; son rire se mêlant au mien, nos sourires gênés, les regards pleins de tendresse, tout ça et bien plus encore, j’avais tout perdu, tout. C’était la première fois que ces mots m’étaient destinés et provenaient de quelqu’un d’autre que de ma mère. Je pleurai en silence sous le regard de cette dernière. Elle attrapa la feuille suspecte, la lut sans me demander la permission. La feuille tomba lentement sur le sol, semblable à une plume. Ce fut à cet instant que je compris qu’elle avait fini sa lecture. Elle s’agenouilla et voulut me prendre dans ses bras. Je la repoussai avec violence. Elle approuva mon geste, esquissa un petit sourire compréhensif et partit dans la cuisine pour préparer le repas. Je ne la rejoignis pas, je préférai m’apitoyer sur mon sort. Ce chagrin d’amour fut rapide mais néanmoins douloureux. C’était le premier mais n’allait sûrement pas être le dernier. Pourquoi ? Une intuition sans doute.

Après je trouve que ce n'est pas assez Aéré